Ecrit le 19 avril 2000

 

 

Belle

Il est de ces beautés
Que l'on se plaît à dénuder
Pourtant, de ton corps silhouette je ne connais pas encore l'ombre
La fragilité d'un corps, la constance d'une âme
M'amène à te chérir sans pour autant te connaître
Tu es celle que je crée au gré de mes apparitions
Bonjour